D.S.1 du 01/10/10

 

1a. Calcul de la masse molaire de l’aspirine : . . MAsp = 9 MC + 8 MH + 4 MO

. . . . . . A.N. : . . MAsp = 9 . 12 + 8 . 1 + 4 . 16 = 180 g.mol-1

Calcul de la quantité de matière de l’aspirine : . . nAsp = mAsp/ MAsp

. . . . . . A.N. : . . nAsp = (500 . 10-3)/180 = 2,78 . 10-3 mol.

1b. Calcul de la concentration de l’aspirine dans l’eau : . . cAsp = nAsp/ V

. . . . . . A.N. : . . cAsp = `(2,78 . 10^-3)/(0,100)` = 2,78 . 10-2 mol.L-1

1c. D’après la relation des gaz parfaits, la pression du dioxyde de carbone est telle que pV = nCO2RT ;

. . . . . . D'où : . . nCO2 = `(pV)/(RT)`

. . . . . . A.N. : . . nCO2 = `((1,0 .10^5) . (70 . 10^-6))/((8,31)(273+25))` = 2,8 . 10-3 mol = 2,8 mmol.

 

2. Calcul de la quantité de matière de l’acide acétique : . . nAA = c . V

. . . . . . A.N. : . . nAA = 2,0 . 100 . 10-3 = 2,0 . 10-1 mol.

Calcul de la masse de l’acide acétique dissous : . . mAA = nAA . MAA

. . . . . . A.N. : . . mAA = 2,0 . 10-1 . 60 = 12 g.

Calcul du volume de l’acide acétique à prélever : . . mAA = ρ . V

. . . . . . D'où : . . V = mAA / ρ

. . . . . . A.N. : . . V = `12/(1,08)` = 11,1 . 10-3 L = 11,1 mL.

 

3a. Calcul des quantités de matière initiales :

Quantités de matière initiales d'oxyde de cuivre : . .nCuO = mCuO/ MCuO

. . . . . . A.N. : . . nCuO = `(1,00)/(63,5 + 16)` = 1,26 . 10-2 mol.

Quantités de matière initiales de carbone : . .nC = mC/ MC

. . . . . . A.N. : . . nC = `(0,120)/12` = 1,00 . 10-2 mol.

3b. Equation de la réaction : . . . . . C + 2 CuO `to` CO2 + 2 Cu

3c. Tableau d’avancement de la réaction :

 

Etat
Avancement
C
+ 2 CuO
`to` CO2
+ 2 Cu
E.I.
0
0,0100
0,0126
0
0
en cours
x
0,0100 - x
0,0126 - 2 x
x
2 x
E.F.
xmax
0,0100 - xmax
0
xmax
2 xmax

 

3d. Calcul de l’avancement maximal :

. . . . . . pour l’oxyde de cuivre : . . xmax = 1,26 . 10-2 /2 = 6,3 . 10-3 mol

. . . . . . pour le carbone : . . x’max = 1,00 . 10-2 mol

donc le réactif limitant est l’oxyde de carbone et l’avancement maximal est : . . xmax = 6,3 . 10-3 mol.

3e. A l’état final, il y a les quantités de matière suivantes :

. . . . . . nCuO = 0 mol

. . . . . . nC = 1,00 . 10-2 - 6,3 . 10-3 = 3,7 . 10-3 mol

. . . . . . nCO2 = xmax = 6,3 . 10-3 mol

. . . . . . nCu = 2 xmax = 1,26 . 10-2 mol.

 

4a. Avec un bâton d’ébonite chargé négativement, on peut charger S1 négativement par contact.

4b. Avec un bâton de verre chargé positivement, on peut charger S1 négativement par influence :

. . . . . . on approche le bâton de verre,

. . . . . . on relie la sphère à la terre,

. . . . . . on supprime le lien vers la terre,

. . . . . . on éloigne le bâton de verre.

4c. Les charges négatives (excédentaires) présentes sur la sphère S1 se repoussent au maximum. Elles sont donc localisées à la surface de la sphère.

4d. A cause du phénomène d’influence, des charges positives apparaissent sur S2 (à proximité de S1) et des charges négatives sont repoussées. Lors de la mise à la terre, des charges négatives (des électrons) vont vers la terre. La sphère S2 devient chargée positivement.

 

S1et S2 éloignées l'une de l'autre
S1et S2 proches l'une de l'autre
S2 reliée à la Terre

 

5. Il y a entre les 2 boules électrisées une force de Coulomb telle que : . . F = k (q2)/(d2)

. . . . . . D'où : . . q2 = d2 . `F/k`

. . . . . . D'où : . . q = ± d . `sqrt( F/d )`

. . . . . . A.N. : . . q = ± 4,0 . 10-2 . `sqrt((20 * 10^-3)/(9 * 10^9))` = 6,0 . 10-8 C.

 

6a. La force d'attraction gravitationnelle s’écrit : . . FS/T = G `(M_S * M_T) /d^2`

. . . . . . A.N. : . . FS/T = 6,67 . 10-11 . `(2,0 * 10^30 * 6,0 * 10^24)/ (150 * 10^9)^2` = 3,6 . 1022 N.

6b. L’homme subit une très forte attraction de la part de la Terre (F = 9,8 . 102 N), d’où son contact avec la Terre. Cette force le cloue au sol !

L’attraction subie de la part du Soleil est 1700 fois plus petite ; malgré l’énorme masse du Soleil, cette force est modérée à cause du très grand éloignement de l’astre.

La force gravitationnelle qui existe entre les humains est négligeable par rapport aux 2 précédentes à cause des faibles masses (comparées à celle de la Terre !) et malgré leur grande proximité (d = 1 m).